Je suis retourné au Cora de Dole : il me semble que l'éclairage a été refait car l'hypermaché m'a paru plus clair... Je me trompe peut-être
Par contre la cafétéria est toujours aussi vieillote

je suis responsable à Cora livry-gargan ce n'est pas un magasin pilote mais simplement un concept imagine par son directeur et un cabinet specialise. il y a bien eu le clip de zazie ainsi qu'un film de "francois ozon" avec alexandra l'amie tournée sur deux jours.

Salut,

vous savez que depuis quelques temps Denise Fabre est l'égérie des produits Cora.

Et bien d'après Capital, elle a piqué la place de Fla Fla.

Peut-etre que les photos dénudées sur la plage ont déplu à la chaine d'hypers ?

http://www.purepeople.com/16424-Flavie-Flament-se-fait-piquer-sa-place-par-Denise-Fabre-.html

Je remonte ce sujet car depuis une semaine, j'étais intrigué par une campagne d'affichage.

En effet, depuis lundi, fleurissent sur les 4x3 des affiches teasing avec une situation cocasse, une pastille "déjà vu"et une adresse de site internet.
http://www.on-veut-du-jamais-vu.com/

Quand on va sur le site, on ne trouve aucun renseignement sur la marque qui l'édite.

En réalité, c'est Cora qui est à l'origine de ce teasing. J'ai reçu un courrier postal aujourd'hui. Il s'agit de leur future opération commerciale "des offres commerciales" qui commence mercredi.

Je pense que c'est la première fois depuis longtemps que Cora organise une telle opération de communication.

Oui c'est la première fois que je vois une aussi grande campagne de pub pour

Cora mais pour quand la pub TV ?
Cora en a déjà fait ou pas ?

Pas à ma connaissance.

Par contre, il y a une dizaine d'années, le catalogue des jouets de Noel de Cora a été sponsor d'une émission jeunesse du matin. (TF1 me semble-t-il)

Le CORA de Lempdes (Auvergne - Clermont-ferrand) a été refait il y a quelques années et personnellement il est très bien entretenu mis à part que les affiches enfin l'identité visuelle parait être restée bloquée dans les années 30... un beige sale et un vert bouteille...

Je préfère encore le logo de CORA que le nouveau de CARREFOUR !
Mais c'est vrai que Cora est effacé par rapport aux autres hypermarchés !

Le groupe Cora se désengage des Antilles-Guyane
Le 30 octobre 2009
* Mots clés : Les réseaux, Dom - Tom, Cora

SISB, holding du groupe Cora, gérant aux Antilles-Guyane 28 filiales du groupe, se désengage de la zone. Tout le groupe est à vendre en Guadeloupe, Guyane, Martinique, Saint-Martin, Saint-Barthélemy, c’est-à-dire 4 hypermarchés Cora, 15 supermarchés Match, 57 Ecomax, un Leader Price en Guyane. Avec en plus, Propadis, la plate-forme de distribution des Ecodis en Guyane, les 11 dépôts desservant la totalité des magasins logés dans la filiale Sovena. Le groupe a rencontré cette semaine la totalité des partenaires sociaux des cinq territoires qui représentent quelques 2 344 salariés. Le groupe a réalisé 543M€ de chiffre d’affaires dans ces territoires en 2008.

“Nous quittons la région car nous y avons perdu beaucoup d’argent et nous ne sommes pas parvenu à réaliser la stratégie imaginée en 2000 lors de la reprise de notre franchisé Primistère-Reynoird, à savoir : réorganiser cette base pour poursuivre notre développement vers la Caraïbe et l’Amérique latine”, explique Etienne-Denis Reynaud, directeur général de SISB. Selon lui, l’idée de vendre a germé dès 2005 suite à la contre-performance du remodelage du Cora Bas-du-Fort en Guadeloupe. Et les choses se sont accélérées en avril 2009, après les mouvements sociaux de début d’année.

En termes de part de marché, le groupe, avec l’ensemble de ses formats, est le premier distributeur alimentaire des départements français d’Amérique : 39% en Guadeloupe, 17% en Guadeloupe, 61% en Guyane. SISB est donc en train de céder ses actifs par appartements, immobilier compris. L’identité des repreneurs est quasi annoncée : Le groupe martiniquais Patrick Fabre (Leader Price) reprend les cinq Leader Price de Guyane ainsi que le Match de Sainte-Marie en Martinique ; le groupe martiniquais Ho Hio Hen (enseigne Casino) reprend la totalité des 57 Ecomax de Martinique, Guadeloupe et Guyane ainsi que le Cora en Guyane. Dans ce même département Système U, à travers ses deux affiliés Yann Du et NG Kon Tia, reprend respectivement Match de Montjolie et celui de Kourou. En Guadeloupe, Système U s’intéresse à sept Match à travers un nouvel affilié constitué par le directeur des ventes et une assistante de direction du groupe Cora et un ancien collaborateur du distributeur martiniquais Madimarché. Système U a également une option sur le Match de Saint-Barthélemy. Enfin, en Martinique, deux Match, l’un à Fort-de-France, l’autre à Trinité, sont repris par Distribution Champion qui possède déjà deux supermarchés Champion dans le Nord et le Sud de l’île.

En revanche, aucune offre n’est en cours sur trois Cora, celui de Martinique et les deux de Guadeloupe.

De Francette Rosamont, correspondante de LSA aux Antilles.

Salut j'aimerais savoir quelque chose, j'habite en zone trans-frontalière avec la Suisse, et une chaîne de supermarché suisses, Migros, à installer 3 supermarchés dans le coin, et ce qui est etrange c'est que, je pense, 40 % des produits sont de marque Cora, comme le pq, ou le liquide vaiselle.

Migros Etrembières : une enseigne suisse en France [Benoît Merlaud]
8 Mars 2004

Deux petits Français pour un Suisse. Depuis une dizaine d’années, le groupe helvète Migros exploite en effet sous sa propre enseigne deux hypermarchés à Thoiry, dans l’Ain, et à Etrembières, en Haute-Savoie. Deux magasins originaux, atypiques dans le paysage hexagonal.
D’abord parce que Migros n’est pas un distributeur ordinaire. Sur les 13 milliards d’euros de chiffre d'affaires qu’il a réalisés en 2003, 9 sont à mettre au compte de ses 531 hypers et supermarchés. Mais le groupe compte également 14 industries (allant du fabricant de chocolat à celui de cosmétiques), des grands magasins, des agences de voyage, une banque, des golfs et même quelques titres de presse ! Deux magasins atypiques, ensuite, parce que ces deux hypers, dans leur concept, leur mode d’approvisionnement, se distinguent nettement de leurs homologues hexagonaux.
« L’implantation de Migros en France répondait à un objectif simple, explique Guy Vibourel, directeur de la coopérative Migros-Genève (dont dépendent les deux hypers). Se rapprocher de zones urbaines importantes où la population nous connaissait déjà, Français travaillant en Suisse ou Suisses possédant une résidence secondaire en France. Par la suite, ces deux magasins nous ont permis de récupérer une partie de l’évasion commerciale engendrée par la hausse du franc suisse (une évasion estimée à un milliard de francs suisses pour le commerce frontalier). » Thoiry (6 000 m²) a été ouvert en 1993 et Etrembières (5 000 m²) en 1994. Depuis, aucun autre magasin n’a vu le jour en France et il paraît peu probable que Migros puisse ouvrir un nouvel hyper dans la région. Mais le Suisse ne dédaignerait pas accroître son parc avec des supermarchés.
Une clientèle à fort pouvoir d’achat

En 2003, les deux hypers ont réalisé ensemble un chiffre d'affaires de 108 M€, à peu près également réparti (à Etrembières, la zone de chalandise, urbaine, est plus dense). Côté fréquentation, la stratégie de Migros se vérifie : quatre clients sur dix sont des Français travaillant en Suisse et deux sur dix sont suisses (les autres étant des Français travaillant en France). Bref, voilà déjà 60 % de la clientèle qui dispose a priori d’un fort pouvoir d’achat.
Si cette zone de chalandise atypique autorise quelques audaces en matière d’assortiment (plus de haut de gamme que de premiers prix), Migros a surtout dû jouer avec plusieurs contraintes. En Suisse, grâce à son exceptionnel outil de production, l’enseigne se plaît à ne proposer quasiment que des MDD (90 à 95 % de l’offre !). Dans l’alimentaire, les signatures d’industriels (les « marques tierces », en langage Migros) se comptent sur les doigts des deux mains : Kellogg’s, Zweifel (chips), Nestlé (baby food), Ferrero, Contrex, San Pellegrino et Knorr à partir d’avril. Autant dire pas grand-chose.
Dans les magasins français de Migros, pourtant, les assortiments sont plus conventionnels. Les marques propres du groupe couvrent environ 15 % de l’offre (elles devraient bientôt arriver à 30 %). D’abord pour que la clientèle retrouve des marques qu’elle connaît, mais aussi parce que tous les produits suisses ne peuvent pas être vendus dans l’Union Européenne, et donc en France : pour des questions sanitaires (viandes) ou à cause des normes de fabrication (appareils électriques).
Du coup, la structure d’approvisionnement des hypers français de Migros est pour le moins originale. En complément des références venues directement de ses entrepôts suisses, le distributeur se tourne vers une plate-forme Cora. Histoire de bénéficier de conditions d’achat en France qu’il n’obtiendrait évidemment pas seul. En revanche, sur certains produits frais, les magasins privilégient la relation directe avec un parti pris qualitatif. Le chef boucher d’Etrembières, par exemple, accompagne régulièrement son fournisseur dans le charolais et n’achète que des carcasses Label Rouge.

En 2011, un nouvel hyper Cora ouvrira à Mont de Marsan dans les Landes.

Ce sera le 60ème hyper du groupe en France et le 1er hyper de la chaine en Aquitaine.

Ce sera la première croissance du nombre de magasins depuis 1997, année à laquelle 3 Mammouth étaient passés Cora.

Depuis, il y a eu 2 transferts/créations de nouveaux magasins : Colmar et Saint Avold, et plusieurs rénovations lourdes comme Livry Gargan, Soissons, Mulhouse/Dornach, Clermont ferrand/Lempdes, Essey les Nancy et Nancy/Houdemont.

source "sud ouest"
http://www.sudouest.com/landes/actualite/mont-de-marsan/article/838171/mil/5604155.html