Cette affaire des Guignols devient de plus en plus répugnante...
- Sur le fond, qu'un actionnaire décide de la suppression d'une émission pour raisons éditoriales et non parce que ça lui fait perdre de l'argent, c'est une grave erreur.
- Sur la forme, décider cet arrêt après la fin du programme, en plein été, sans droit de réponse, et au lendemain du décès de celui qui a permis aux Guignols de se développer, c'est également une faute.
J'espère qu'il y aura très vite un démenti car franchement, ce serait désastreux en termes d'image (et d'audiences) pour Canal+...
Les dernières infos sur Canal+ ne donnent pas vraiment espoir en tous cas. Bolloré n'a pas l'air visiblement d'adhérer à l'Esprit Canal et à la mentalité "fun et pep's".

gillesdej a écrit:
Maintenant, je doute que les Guignols soient rentables sur le plan des audiences. Parce que 8 minutes de 100% latex ça coute cher. Très cher. (ce sera sans doute le motif officiel "pour des raisons budgétaires et gnagnagnagna")
Justement, les personnages de latex étant déjà créés, il faut les rentabiliser.

Quand Canal+ claque des centaines de millions en droits sportifs/cinéma, c'est moins cher ?

gillesdej a écrit:
EDIT : 19h14 : Ozap nous apprend que maître suprême Bolloré veut Maïtena en access, quitte à ce que Laurent Bon récupère la case du Grand Journal.
Elle avait pourtant annoncé sur France Inter qu'elle ne voulait rien d'autre que son émission hebdo "Le Supplément"...
stargazer a écrit:
Il va falloir surveiller de près les réactions des responsables des antennes voire du DG Rodolphe Belmer lui-même, le PDG Bertrand Meheut étant déjà sur le départ. Peuvent-ils accepter une telle dépossession ?
Des rumeurs insistantes pariaient déjà l'année dernière sur un départ de Rodolphe Belmer... à cause déjà d'un certain Vincent Bolloré.
Il n'y a généralement pas de fumée sans feu...
http://www.ozap.com/actu/canal-rodolphe ... art/454231J'ai bien peur que le départ de T. Langlois (qui professionnellement n'a décidemment pas eu de chance ces 14 derniers mois

) ne soit pas le dernier.
