Je ne pense pas que l'on doit être si tatillon. Comme je l'ai déjà dit, chacun à sa façon de parler. D'ailleurs quand je parle d'esprit collectif, c'est justement pour indiquer que dire programmes, séries etc va être beaucoup plus compréhensible par tous (vu qu'on est très lus) comparé à juste "émission", mot qui peut être tellement large que ça peut dire tout et n'importe quoi. Surtout qu'émission est souvent utilisé pour décrire un programme de flux spécifiquement.
D'ailleurs programme et émission ont tous les deux du sens pour cette utilisation (d'ailleurs les deux ont une définition dans le dictionnaire français qui montre bien ce fait). Un programme ou une émission, en parlant de télé ou de radio, va être de toute façon émise et programmée.
Même l'Arcom parle d'ailleurs de... programmes. Bref.

Ce que je veux dire, c'est que c'est ton choix d'utiliser le mot émission, ça a du sens, mais j'ai l'impression (et je suis sûrement pas le seul) que tu veuilles imposer à tout le monde de l’utiliser, à chaque fois qu'on utilise tout autre mot à la place.

À part ça, je ne vois pas vraiment où je me trompe dans mon précédent message d'ailleurs...

Je te rejoins dans ton point de vue Bartman, surtout que c'est pas la première fois qu'on en parle : tu veux parler d'émission dramatique pour parler de téléfilm dramatique, fais comme bon te semble mais ne l'impose pas aux autres s'il-te-plaît.

Justement, pas mal de Nodaliens utilisent le vocabulaire du Droit de la Communication (Dont l'anglicisme "Programmes", et l'ARCOM doit être un exemple pour ne pas abuser), pas celui du CPI, d'autres utilisent le langage juridique du CPI...
Mais, doit-on vraiment tout vulgariser ?

De plus, une oeuvre audiovisuelle a beaucoup de définitions, chacun est libre de l'interpréter, comme il le souhaite

Nous sommes libres, mais tu nous reprends chaque fois sur certains termes, parfois avec insistance, une bien étonnante liberté.
Nous ne sommes pas dans un tribunal ou dans une entreprise audiovisuelle, il est donc normal d'employer les mêmes éléments de langage qu'un téléspectateur lambda.

Cette conversation, pardonnez-moi mais c'est du jus de boudin. Tu nous demandes, Fred, d'être pointu dans les termes en nous sortant le Code de la Propriété Intellectuelle, comme si nous étions sur un forum de juristes... Puis tu jettes ces mêmes textes réglementaires par-dessus l'épaule, je te cite : "une oeuvre audiovisuelle a beaucoup de définitions, chacun est libre de l'interpréter, comme il le souhaite". Bah non excuse-moi, la définition d'une œuvre n'est pas libre, sinon sur quoi reposeraient les obligations de production et de diffusion des chaînes ?
Bref, on n'en revient à ce que j'ai déjà essayé aimablement de te faire remarquer : on ne peut pas tout le temps "faire le malin" et balancer des faits historiques qui n'ont rien à voir avec le contexte de discussion ou reprendre les autres sur leur expression.

Nous sommes lus par des sommités du milieu !
Pas uniquement le téléspectateur lambda, que je sache !

Il est donc aussi normal d'employer la terminologie spécifique au milieu ! Je ne fais pas le malin, mon cher ami !

Je maintiens ce que je dis, la définition d'une oeuvre est libre et variable, il y a 3 définitions, je le répète !

FredC... Tu as parfaitement le droit de partager tes connaissances en vocabulaire audiovisuel, mais ensuite chacun est libre de faire ce qu'il veut. Tu ne peux pas insister pour que tout le monde utilise les mots que tu souhaites...
Nous sommes certes lus par des personnes du milieu, mais ces personnes ne sont pas non plus des bourgeois qui vont rire au moindre terme qui serait (selon toi) incorrect... ce que tu veux, ça en devient caricatural.
Je vais me permettre de parler au nom de tous les membres, mais nous sommes là, certes pour apprendre, mais aussi pour partager notre passion en télévision. Pas pour être constamment scruté sur chaque mot qu'on écrit.

Effectivement, mais je n'insiste en rien du tout...puisque je précise que chacun est libre d'employer le vocabulaire qu'il souhaite !

Il ne faut pas nécessairement s'exprimer au nom de tous les membres, d'autant que tout le monde ne partage pas les mêmes positions...
D'ailleurs, les Institutions emploient des vocables différents :
L'INA utilise la terminologie du Code de la Propriété Intellectuelle, le CNC et l'ARCOM, utilisent celle des Décrets de 90 et 92, l'Europe, de la directive "Télévision sans Frontières"...
Il y a donc, non pas une définition, mais plusieurs définitions ! Nuance !

Pas du tout. "Programme" vient du bas latin et du grec Programma. Définition numéro 1 : "Détail, ensemble des émissions, spectacles, conférences, etc., qui sont donnés quelque part à un moment précis, pour une période déterminée".

https://www.larousse.fr/dictionnaires/f ... amme/64207

Désolé pour cette erreur de ma part ! Mea Culpa !

Voilà la confirmation que tu attendais, preuve que Télé Loisirs est un média sérieux et bien informé : https://www.ozap.com/actu/-il-faut-savoir-terminer-une-serie-france-2-arrete-les-petits-meurtres-d-agatha-christie-apres-15-ans-d-existence/642480

Enfin ! Merci !

Ce n'est pas parce qu'une info média n'est pas donné par la chaîne qu'elle est forcément fausse ou qu'il ne faut pas s'y fier : il y a plein de sources sérieuses dans le métier, comme les sites des différents magazines télé, qui ont parfois des exclusivités qui se révèlent toujours exactes. Pour le coup, il n'y a besoin de confirmation : Télé Loisirs avait (comme toujours) une bonne source.

C'est vrai !

Un peu par hasard, j'ai lu un portrait peu flatteur sur Christophe Dechavanne établi par le Nouvel Obs suite à son bouquin dont l'histoire a semble t-il été beaucoup réécrite (il suffit de lire quelques extraits pour s'en apercevoir...) avec témoignages d'anciens collaborateurs, anonymes pour la plupart.

https://www.nouvelobs.com/economie/2024 ... avail.html

J'ai eu l'impression de lire à peu près le même portrait sur des animateurs comme Nagui ou Brogniart. Est-ce typique, sans amalgamer, des "animateurs (producteurs souvent) rois" des années 80-90-2000 ?
Comme mentionné dans l'article, il ne fait l'objet d'aucune plainte. Je le signale dans le contexte actuel.