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Alex Térieur
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Sujet du message: Hors service Publié: Mer 15 Nov 2006, 23:11 |
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Inscription : Ven 14 Avr 2006, 18:46 Message(s) : 218
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Hors service
Dernière édition par Alex Térieur le Ven 26 Oct 2007, 15:16, édité 1 fois.
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inconnu25
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Sujet du message: Publié: Jeu 16 Nov 2006, 0:01 |
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Inscription : Lun 27 Juin 2005, 23:57 Message(s) : 8098
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Débranché
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Sujet du message: Publié: Jeu 16 Nov 2006, 1:36 |
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Inscription : Ven 24 Déc 2004, 2:34 Message(s) : 4195
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c'était lui qui avait une chronique dans l'émission de Ali G je me souviens
c'était assez décalé
_________________ « Ce n'est pas parce que c'est récent que c'est forcément moderne » ©®™ Débranché [quote="Stranger"]Je vais vomir dans ma poubelle...[/quote] http://florian.jude.free.fr/signature-florian-2008.png
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Stranger
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Sujet du message: Publié: Ven 17 Nov 2006, 21:34 |
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Inscription : Mer 18 Sep 2002, 17:17 Message(s) : 11213 Localisation : Fontenay sous Bois (94)
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Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan
Borat, reporter kazakh, est envoyé aux Etats-Unis par la télévision de son pays pour y tourner un reportage sur le mode de vie de cette nation vénérée comme un modèle. Au cours de son périple, il rencontre de vraies personnes dans des situations authentiques, avec les conséquences les plus incroyables. Son comportement à contre-courant provoque les réactions les plus diverses, et révèle les préjugés et les dessous de la société américaine. Aucun sujet n'échappera à sa soif d'apprendre, même les plus extrêmes. Un vrai choc des cultures...
"Nice !" Le leitmotiv de Borat s'applique parfaitement à cet OVNI de l'humour. Sacha Baron Cohen tape sur tout ce qui bouge avec une irrévérence et un culot qui font pleurer de rire. Les premières minutes du film, au Kazakhstan, sont hilarantes... mais c'est bel et bien au travers des yeux de l'Amérique, et donc à travers des nôtres, que le personnage prend toute sa dimension. En mettant en exergue, ou plutôt en exagération, le fossé civilisationnel entre Orient et Occident, Borat nous tend un miroir grossissant nos défauts et contradictions. Une oeuvre drôle et salutaire, donc ; à ne pas manquer.
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Sur un (bon) conseil de Manu/Gerry :
Shortbus
Interdit aux moins de 16 ans
Shortbus suit plusieurs personnages new-yorkais dont les aventures tragi-comiques naviguent entre sexualité et sentiments. Tous fréquentent un club underground moderne, Shortbus, où s'expriment toutes les sexualités. Sofia est sexologue et n'a jamais connu l'orgasme. Avec son mari Rob, elle simule le plaisir depuis des années. Sofia croise Severin, une maîtresse dominatrice qui tente de l'aider. Parmi les patients de Sofia, James et Jamie sont un couple gay qui tente d'ouvrir ses relations sexuelles à un troisième partenaire. James propose une relation avec Ceth, mais Jamie reste sur ses gardes. James semble avoir un projet secret. Il est suivi par un mystérieux observateur, Caleb...
Un film intéressant qui décrypte avec une grande finesse, tant visuelle que narrative, les moeurs de la société d'après-11-Septembre. En effet, en dépit d'une mise en valeur esthétique des scènes de sexe (qui sont filmées avec une sobriété de bon aloi), on est peu à peu incité à se focaliser sur ce que les personnages expriment, que ce soit avec des mots ou avec leur corps... Les familiers des univers de Beigbeider ou Houellebecq, par exemple, apprécieront.
_________________ Julien "Stranger"
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Stranger
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Sujet du message: Publié: Dim 19 Nov 2006, 11:35 |
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Inscription : Mer 18 Sep 2002, 17:17 Message(s) : 11213 Localisation : Fontenay sous Bois (94)
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Scoop
L'enquête du célèbre journaliste d'investigation Joe Strombel, consacrée au "Tueur au Tarot" de Londres, tourne court quand il meurt de façon aussi soudaine qu'inexplicable. Mais rien, pas même la mort, ne peut arrêter Joe. A peine arrivé au purgatoire, il décide de transmettre ses toutes dernières informations à la plus charmante des étudiantes en journalisme : Sondra Pransky. De passage à Londres, Sondra entend le fantôme de Joe s'adresser à elle durant un numéro de magie de l'Américain Splendini, alias Sid Waterman. Bouleversée et folle de joie à l'idée d'avoir déniché le scoop du siècle, l'effervescente créature se lance avec Sid dans une enquête échevelée, qui les mène droit au fringant aristocrate et politicien Peter Lyman. Une idylle se noue en dépit de troublants indices semblant désigner le beau Peter comme le "Tueur au Tarot". Le scoop de Sondra lui sera-t-il fatal ?
Tout simplement irrésistible ! On rit aux éclats pendant 1h30 tant la prestation du trio Allen/Johansson/Jackman fait des éclats ! Les bons mots fusent et les situations cocassent s'enchaînent dans cette comédie rythmée et intelligente. Les scènes mettant en scène la mort sont vraiment à se tordre de rire. Courez-y, vous ne le regretterez pas !
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Désaccord parfait
"Quelle bonne idée, ces retrouvailles"... se réjouissent d'avance les organisateurs des BATAR, à Londres, sans se douter une seconde qu'ils ne vont pas du tout avoir droit au grand moment d'émotion et de mondanité qu'ils avaient prévu. Car ces fameuses retrouvailles sont celles d'Alice d'Abanville, célébrissime actrice du théâtre londonien, et de Louis Ruinard, réalisateur français, qui connut son heure de gloire dans les années 70, avec cinq films cultes dont Alice fut l'inoubliable héroïne. Alice, Louis... Deux personnalités hors du commun. LE couple choc et glamour des années 70. Le Créateur et son Egérie. Sauf que le fameux couple mythique ne s'est pas revu depuis trente ans. Pire, même : ils ont tout fait pour ne pas se revoir, après une séparation aussi brutale qu'incompréhensible. C'est dire si ces retrouvailles arrangées et officielles, ne sont pas du tout de leur goût.
En dépit de seconds rôles à leur aise (sauf peut-être Isabelle Nanty, qui semble assez effacée...), cette comédie ne vaut que pour l'affrontement au sommet entre ses deux têtes d'affiches... Et l'on a beau être un fervent adepte du Rochefortisme et de la DeCaunade, il faut reconnaître que ce film est loin de laisser une trace indélébile. On passe un bon moment néanmoins.
_________________ Julien "Stranger"
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Gerry
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Sujet du message: Publié: Mer 22 Nov 2006, 11:13 |
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Inscription : Ven 08 Août 2003, 15:31 Message(s) : 8283 Localisation : Paris
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SAW 3 - interdit aux moins de 18 ans !!!!!
http://www.imedias.biz/cinema/actualite ... j-9005.php
Bon, j'ai déjà vu le film depuis quelques jours : c'est vrai que celui-ci est assez violent, mais delà, à l'interdire aux moins de 18 ans, .... je suis assez sceptique....
Ca créé un sacré buzz autour du film, et au finla, une attraction supplémentaire à la vision du film, pour les 15/18 ans, cible privilégiée de ce type de films....
Si vous aimez le genre, ne le loupez pas......
C'est une sacrée tuerie (dans tous les sens du terme !!!!! ) et une oeuvre assez intéressante qui revient sur les origines du triptyque....
_________________ http://www.youtube.com/user/IanFriskySummerHalde
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mathav
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Sujet du message: Publié: Mer 22 Nov 2006, 13:56 |
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Inscription : Jeu 13 Oct 2005, 12:39 Message(s) : 55 Localisation : Amiens
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Allez voir "Prète moi ta main" avec Alain Chabat (au début du film, il est fan d'Abba et de The Cure jusqu'au bout des doigts!). Il est très bien, les dialogues sopt excellents!
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inconnu25
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Sujet du message: Publié: Jeu 23 Nov 2006, 0:06 |
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Inscription : Lun 27 Juin 2005, 23:57 Message(s) : 8098
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Pour les fans de Michel Audiard.
J'ai regardé en K7, "Comment réussir quand on est con et pleurnichard", et je trouve que le role de Jean Rochefort, Foisnard, artiste peintre et pianiste, correspond tout à fait à Serge Gainsbourg. D'autant plus, que Jane Birkin, jour le role de la femme de Foisnard en début du film.
Gainsbourg ne devait pas avoir le role de Rochefort au départ?
_________________ Fan du Club Dorothée, de l'époque AB et d'Emma Daumas.
http://tv-en-videos.over-blog.com http://www.dailymotion.com/inconnu25/1 http://lesphotosdaurelien.over-blog.com/
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Stranger
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Sujet du message: Publié: Ven 24 Nov 2006, 22:11 |
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Inscription : Mer 18 Sep 2002, 17:17 Message(s) : 11213 Localisation : Fontenay sous Bois (94)
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Casino royale
Pour sa première mission, James Bond affronte le tout-puissant banquier privé du terrorisme international, Le Chiffre. Pour achever de le ruiner et démanteler le plus grand réseau criminel qui soit, Bond doit le battre lors d'une partie de poker à haut risque au Casino Royale. La très belle Vesper, attachée au Trésor, l'accompagne afin de veiller à ce que l'agent 007 prenne soin de l'argent du gouvernement britannique qui lui sert de mise, mais rien ne va se passer comme prévu. Alors que Bond et Vesper s'efforcent d'échapper aux tentatives d'assassinat du Chiffre et de ses hommes, d'autres sentiments surgissent entre eux, ce qui ne fera que les rendre plus vulnérables...
D'abord, pour être à peu près honnête intellectuellement, je me dois de vous faire cette mise en garde : la critique qui suit est l'avis d'un fan des films de la saga "James Bond".
Ceci étant dit, on a lu et entendu beaucoup de choses sur Casino Royale... "Erreur de casting" d'abord : c'est vrai qu'un 007 blond aux yeux bleus, c'est assez déconcertant... Rassurez-vous, on s'y fait assez rapidement. Plus récemment, la presse et les premiers spectateurs ont joué les rassurés et affirmé que ce 21ème opus renouvelle le genre... Et bien je me dois de leur donner raison !
Du générique d'ouverture (toujours aussi lêché et réalisé par le talentueux Daniel Kleinmann) à la dernière séquence, ce film ne ralentit pas, même lors de l'idylle très médiatisée avec Vesper. Contrairement au dernier film où Brosnan incarnait l'agent de sa Majesté ( Die another day), Casino royale est un film cohérent, intelligible et même assez touffu.
Le mérite en revient bien sûr à Daniel Craig, qui incarne un agent moins droit dans ses bottes, plus violent, plus humain en somme... peut-être plus proche de l'interprétation de Timothy Dalton, s'il fallait faire une comparaison (réductrice cela dit).
Mais le mérite revient aussi à Eva Green : avec elle, la James Bond Girl n'est plus une plante verte bonne à se faire séduire entre deux vodka-martini (au shaker, pas à la cuillère). Vesper est un élément-clé, un personnage non-manichéen.
Après, James Bond reste James Bond : beaucoup de cascades (franchement bluffantes), d'explosions, de séduction, de flegme... pas de gadgets à la Roger Moore en revance : on ne va pas s'en plaindre cela dit. On remarquera d'ailleurs l'absence totale de Q pendant les 2h18 du film ! Une première à ma connaissance. Exit aussi les méchants mégalos qui veulent devenir maître du monde : place aux terroristes de la planète post 11-Septembre. Forcémment, ça contribue à la crédibilité du film.
En somme, si vous aimez James Bond, vous ne pouvez pas passer à côté de ce film qui lance une nouvelle ère : elle s'annonce prometteuse. Pour les autres, ne boudez pas votre plaisir et tentez le coup car il faut de toutes façons prendre Casino Royale pour ce qu'il est : un excellent divertissement.
_________________ Julien "Stranger"
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inconnu25
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Sujet du message: Publié: Ven 24 Nov 2006, 23:58 |
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Inscription : Lun 27 Juin 2005, 23:57 Message(s) : 8098
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Stranger a écrit: Ceci étant dit, on a lu et entendu beaucoup de choses sur Casino Royale... "Erreur de casting" d'abord : c'est vrai qu'un 007 blond aux yeux bleus, c'est assez déconcertant... Rassurez-vous, on s'y fait assez rapidement. Plus récemment, la presse et les premiers spectateurs ont joué les rassurés et affirmé que ce 21ème opus renouvelle le genre... Et bien je me dois de leur donner raison !
Si tu le dis
Je verrais donc moi meme. Care moi aussi, je trouvais assez eétrange de prendre ce physique qui fait plus un role de psychopathe qu'un role à la James Bond. Faut que j'aille le voir pour avoir mon avis là dessus.
_________________ Fan du Club Dorothée, de l'époque AB et d'Emma Daumas.
http://tv-en-videos.over-blog.com http://www.dailymotion.com/inconnu25/1 http://lesphotosdaurelien.over-blog.com/
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Quent(f)1
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Sujet du message: Publié: Sam 25 Nov 2006, 0:20 |
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Inscription : Ven 14 Juil 2006, 1:50 Message(s) : 2712 Localisation : Orléans
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Mon avis : Ce film est superbe les 30 premières minutes mais ensuite ça retombe, c'est plat, à cause d'une partie de poker interminable et d'une intrigue pas géniale... Rassurez-vous, c'est quand même un bon film magnifiquement joué par Daniel Craig.
_________________ De la forme naît l'idée. Gustave Flaubert
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Stéphane
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Sujet du message: Publié: Sam 25 Nov 2006, 23:43 |
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Inscription : Ven 30 Août 2002, 16:19 Message(s) : 3214
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Bon j'ai été voir Borat ce soir et j'en suis tout retourné
Meme moi qui rigole de tout, je ne m'attendais pas à ça !
Génial !!
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Stranger
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Sujet du message: Publié: Dim 26 Nov 2006, 18:11 |
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Inscription : Mer 18 Sep 2002, 17:17 Message(s) : 11213 Localisation : Fontenay sous Bois (94)
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Fast food nation
Don Henderson a un vrai problème. Il est responsable marketing de la chaîne des Mickey's Fast Food Restaurants, et de la viande contaminée a été découverte dans les stocks de steaks surgelés du fameux Big One, le hamburger vedette de la marque. Quittant ses confortables bureaux de Californie du Sud, il va découvrir les abattoirs et leurs employés immigrés, les élevages surpeuplés et les centres commerciaux de l'Amérique profonde et que ce sont les consommateurs qui se font bouffer par l'industrie du fast food et non l'inverse !
Fast food nation est un film dérangeant à plus d'un titre... D'abord parce qu'il s'inscrit dans la lignée du neo-docu américain (Michael Moore et autres Super size me...) et qu'il remplit parfaitement sa mission. On sort de la salle totalement écoeuré tant les images de la fabrication du Big Mac... pardon, du "Big One" sont insoutenables (et même si vous avez déjà vu des reportages sur la fabrication des steaks, vous n'avez rien vu !).
Seulement, Fast food nation n'est pas un documentaire... et c'est là que le bas blesse. Bien que touchants, les destins parallèles de ce directeur en marketing, de ces jeunes activistes écolos et des migrants latinos s'emmêlent sans vraiment se croiser. Ce que l'on gagne en émotion, on le gagne aussi en confusion et en longueur... Et au bout du compte, on hésite entre quitter la salle parce que l'on a envie de vomir ou parce que l'on s'ennuie ferme depuis près de 2 heures. En somme, " Fast food nation est un film dérangeant à plus d'un titre..." Dommage.
_________________ Julien "Stranger"
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Stranger
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Sujet du message: Publié: Dim 03 Déc 2006, 12:33 |
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Inscription : Mer 18 Sep 2002, 17:17 Message(s) : 11213 Localisation : Fontenay sous Bois (94)
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Les Infiltrés
A Boston, une lutte sans merci oppose la police à la pègre irlandaise. Pour mettre fin au règne du parrain Frank Costello, la police infiltre son gang avec "un bleu" issu des bas quartiers, Billy Costigan. Tandis que Billy s'efforce de gagner la confiance du malfrat vieillissant, Colin Sullivan entre dans la police au sein de l'Unité des Enquêtes Spéciales, chargée d'éliminer Costello. Mais Colin fonctionne en "sous-marin" et informe Costello des opérations qui se trament contre lui. Risquant à tout moment d'être démasqués, Billy et Colin sont contraints de mener une double vie qui leur fait perdre leurs repères et leur identité. Traquenards et contre-offensives s'enchaînent jusqu'au jour où chaque camp réalise qu'il héberge une taupe. Une course contre la montre s'engage entre les deux hommes avec un seul objectif : découvrir l'identité de l'autre sous peine d'y laisser sa peau...
Est-ce un effet pervers du trop-plein de diffusion de séries policères en prime time ? Je ne sais guère... Toujours est-il que ce thriller a été pour moi source de 2h30 d'ennui. Certes c'est bien filmé, l'intrigue tient debout... Mais c'est tellement prévisible. Peut-être le sujet n'est-il finalement pas assez surprenant à la base... De même, on se demande que penser de cette fin en "jus de boudin", style "après moi le chaos". J'avoue avoir failli m'endormir (et pourtant j'avais fait une bonnue nuit !) tant le rythme, loin d'être absent, n'est pas accrocheur. Pour sauver le film de Scorsese, il ne reste en fait que des acteurs. Matt Damon fait du Matt Damon... et ça sent le déjà-vu. Idem pour Di Caprio et Nicholson, sauf qu'eux ont le mérite d'être géniaux et donc de ne pas lasser.
Néanmoins, ce polar plaira sûrement à un large public, car il est tout de même loin d'être mauvais... il a juste oublié d'être brillant.
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Si vous voulez aller voir un bon film, je vous conseille plutôt...
La Faute à Fidel
Pour Anna, 9 ans, la vie se déroule paisiblement et confortablement entre son école religieuse et la maison de ses parents, Marie et Fernando. Seule ombre à ce tableau idéal, un oncle, là-bas en Espagne, qui combat Franco. Un communiste dont il ne faut pas parler. L'arrestation et la mort de cet oncle, un voyage au Chili, quelques rencontres... Autant d'événements dont Anna ne perçoit pas l'importance, mais qui vont profondément transformer ses parents. Engagement, altruisme, combat contre l'impérialisme, féminisme, manifestations sont désormais les maîtres mots et les événements qui jalonnent la vie de Marie et Fernando. Pour Anna, cet élan parental se traduit par d'autres mots et d'autres événements. Déménagement, désorganisation, changements de nounous, appartement plus petit, nouveaux visages. Alors elle résiste, et combat avec ses faibles armes...
Une fable rafraichissante sur l'engagement politique vue des yeux d'un enfant... et où l'idéologie "désuète" des sixties sonne étrangement à nos oreilles, sans doute par effet conjugué du recul de l'Histoire et de la campagne présidentielle. La vision manichéenne gauche/droite, populo/bourgeois, en prête à sourire tant les débats n'ont finalement pas vieilli. Le film brille surtout par la prestation de sa jeune héroïne, incarnée par Nina Kervel-Bey. Les adultes autour semblent quelque peu transparents... pourtant, on s'attache à leur idéaux (notamment lors des séquences traitant du combat pour l'avortement). En un mot, Julie Gavras livre un premier long-métrage réussi. Gageons qu'il y en aura d'autres.
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... et surtout !
Black book
La Haye, sous l'occupation allemande. Lorsque sa cachette est détruite par une bombe, la belle chanteuse Rachel Stein tente, avec un groupe de Juifs, de gagner la Hollande Méridionale, déjà libérée. Mais une patrouille allemande les intercepte dans le delta du Biesboch. Tous les réfugiés sont abattus ; seule Rachel échappe au massacre. Elle rejoint alors la Résistance et, sous le nom d'Ellis de Vries, parvient à infiltrer le Service de Renseignements allemand et à se lier avec l'officier Mûntze. Séduit, celui-ci lui offre un emploi...
Je ne vais pas y aller par quatre chemins : ce film est formidable. Bien que filmé avec une sobriété qui frôle le classicisme, Black book brille par une distribution homogène et convaincante, un rythme soutenu et une intrigue bien ficellée. Surtout, "Paulo" Verhoeven n'a pas perdu de son "franc-filmer" et nous livre une oeuvre sans concession sur un pays au sortir de la seconde guerre mondiale : résistance, collabos, trahisons, allemands cherchant un repentir... Les pistes sont brouillées et nous emmènent loin de la vision manichéenne savamment entretenue après-guerre et qui reste encore un mythe de nos jours. Le cinéaste néerlandais signe donc un film utile mais aussi agréable narrativement et visuellement, où Carice Van Houten mène une course folle pendant 2h25 sans temps mort. Courez-y !
_________________ Julien "Stranger"
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coquillage
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Sujet du message: Publié: Mer 06 Déc 2006, 22:57 |
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Inscription : Sam 17 Juil 2004, 11:44 Message(s) : 6999 Localisation : marseille
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me revoila du cine ce soir je suis aller voir madame irma des inconnues ca mas fait penser a madame dubfyerle debut et un peut long mais apres cest pas mal
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