Colorix a écrit:
1) Pour rester dans le sujet du topic : je connais bien des mecs gay qui ont les doigts "à l'hétéro", et des mecs hétéros qui ont l'inverse, alors !... Et puis, ce "principe des doigts" me rappelle désagréablement les méthodes qu'ARTE nous a montré dans la série "Les Complices d'Hitler" au sujet des savants fous nazis traquant les juifs et autres (gays, tziganes...) sur leur simple apparence physique. Méfions-nous de ce genre de dérives, elle n'ont aucun fondement scientifique !
Je sais bien qu'il faut de l'Histoire. Qu'il ne faut jamais oublier les horreurs. Mais tout de même je me suis longtemps posé la question de savoir si le fait que cette chaine diffusait très souvent des doumentaires tournant autour de la guerre et du nazisme et tout ce qui s'y rattache n'allait pas hélas finir par créer des vocations.
Jusqu'au jour où ma question à trouvée une réponse. Quand j'étais au lycée; ceux qui parlaient le plus d'arté et qui regardaient assiduement et régulièrement étaient aussi les plus racistes. Je ne sais pas s'il y a un lien de cause à effet et j'ose espérer que ce cas particulier n'est pas représentatif de la majorité de leurs téléspectateurs.
Colorix a écrit:
2) Pour rester dans le H.S. : moi au contraire, ça me fout en pétard de voir tronquer les génériques, ou de les voir remplacer par une simple diapo résumant le strict minimum (cf TMC avec Poirot puis maintenant Miss Marple nouvelle mouture). C'est un minimum de rendre, à tout ceux qui ont contribué à réaliser une oeuvre, la part qui leur revient, car chacun a rempli son rôle pour que ce soit une réussite, y compris les seconds rôles, le laboratoire de tirage ou le responsable de la cantine du tournage ! On a assez entendu parler des difficultés des intermittents du spectacle pour comprendre l'importance de voir son nom paraître sur un générique de film (même au milieu de dizaines, voire de centaines d'autres) pour justifier de son expérience professionnelle dans un milieu aussi difficile à démarcher pour trouver du boulot.
Quand on se retrouve a faire un film on aime bien le signer ( au même titre que n'importe quelle oeuvre ) non pas forément pour se montrer mais pour montrer qu'on a apporté sa pierre à l'édifice et se dire que le travail est fini et que la récompense est le générique.
Quand je vais au cinéma je reste jusqu'au bout du générique alors que tout le monde se lève. Je suis le dernier à sortir. C'est une forme de respect envers ceux qui ont travaillés. Récement j'ai parlé avec les gens qui s'occupent des archives régionales du film; parmis les films amateurs ils ont quelques films de fiction n'ayant rien a envier à certains films profesionnels. Pour exploiter ces films ils doivent retrouver les ayant-droits ( ou bien souvent leurs héritiers ) pour avoir leur accord. Mais comment faire sans générique ou avec un générique partiel?
Et comme dit Colorix cela sert aussi dans le milieu. Quand un réalisateur voit un film et aime l'éclairage par exemple, le générique lui permet de savir le nom du chef électricien. Et c'est plus facile de contacter quelqu'un quand on a son nom.
Colorix a écrit:
Et puis, mon choix est vite fait entre un générique tronqué suivi de pub qui hurle (en montrant des ongles dégueulasses, des WC qui puent etc) et quelques minutes de musique accompagnant le générique du film...
Souvent ils sont accélérés et sont affublés d'un bandeau annonçant le programme suivant. Cela permet de gagner du temps... pour nous mettre encore et toujours plus de pub.
J'ai participé à un film vidéo il y a quelques années. Il se trouve que c'était le dernier a être projeté lors de la diffusion. Mais cela nous ne l'avon su que le jour même. Pour autant nous avions prévus l'éventualité. Nous avons fait un générique original -et qui a marqué les esprits vu qu'on m'en a reparlé il y a deux mois- afin que le public ne quitte pas la salle avant la fin.
Le fond du générique n'était pas noir mais il s'agissait d'une pellicule de film maltraitée et très mouvante. Il y avait même quelques privates jokes gravées dedans de façon subliminale et de nombreux dessins abstraits. La couleur utilisée pour l'affichage des noms n'était même pas une couleur préréglée par l'ordinateur. Quand à la musique ça commençait comme du punk et finissait comme du trashgore.
Je ne vous dirais pas dans quel était les gens sont ressortis ( peut-être reste-t-il encore quelques spectateurs décomposés
)
Colorix a écrit:
le superbe château admiré sur la route des vacances de 1998 était à Tartempion !
très beau village en effet