J'ai vu ce midi une bande promo de France 2 qui se conclut par : "France 2, c'est bien !".

D'une, le slogan d'Europe 1 en 2000/2001 était "Europe 1, c'est bien !". Vous me direz, à ce niveau d'originalité, on peut difficilement parler de plagiat.

De deux, ça ne rime pas. Or, je crois que sur un slogan aussi minimaliste, il faut une rime. (Sinon, j'attends avec impatience les pages de pub de France 2 avec "Lotus, c'est bien", "Manix, c'est bien", "Le Chat, c'est bien" et "Peugeot, c'est bien", qui transpirent autant l'originalité et le travail de recherche.) Pourquoi ne pas avoir préféré "France 2, c'est mieux !", qui en plus, aurait le mérite de distinguer la chaîne publique qui se veut de meilleure facture que ses concurrentes...

Ce slogan des plus minimalistes est surtout à associer à la marque d'électroménager SEB qui, avec son fameux "SEB, c'est bien", a marqué l'histoire de la pub et des générations de consommateurs.

Stade 2 a été brièvement perturbé ce dimanche 1er septembre par l'irruption d'un homme voulant évoquer la situation en Syrie. Alors que le présentateur Laurent Luyat évoquait la question des droits de l'homme aux jeux olympiques de Sotchi (Russie), il a été interrompu par un homme le rejoignant sur le plateau, le visage en partie dissimulé par une casquette.

L'homme a brandi une petite pancarte verte, dont le message était impossible à déchiffrer à l'écran. Il n'a pas réussi à s'approcher des micros et seuls quelques mots "Syrie" et "génocide" étaient audibles.

C'était donc un stade 2 mouvementé avec cet incident en plateau. Cet homme portait en lui sa détresse. Il n'a pas insisté et s'en est allé. Personne ne lui en veut, il était émouvant, avait ses raisons mais on va quand même renforcer la sécurité.
Bonne soirée à tous

L'homme, qui était dans le public, "nous a expliqué que sa famille avait été massacrée et qu'il voulait s'exprimer sur la situation en Syrie", a précisé Jean-François Laville, le rédacteur en chef de Stade 2.

"Nous avons discuté avec lui et ça s'est très bien passé. Il était visiblement ému et s'est excusé de son arrivée intempestive. Il est ensuite reparti tranquillement", a indiqué Jean-François Laville, ajoutant qu'il n'y aurait pas de poursuites à son encontre.