Oui je crois qu'on ne peut plus rien faire...
J'ai aussi bien aimé le tacle de Bertrand Coq depuis Bagdad : (à Pujadas) "Vous avez parlé d'un vent d'optimisme tout à l'heure, il faudrait plutôt parler de frémissement..." (!)
Décidemment, Pupu ne peut pas s'empêcher d'anticiper les choses...